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 Goute de sans sur dollard brûlant.

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Liliane Hook
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MessageSujet: Goute de sans sur dollard brûlant.   Goute de sans sur dollard brûlant. Icon_minitimeVen 11 Avr - 3:00

Nom de la potterfiction:
Goutte de Sang sur Dollar Brûllant.

Personnages Principaux:
Blondin & Hermione, Tuco, Angel eyes, Ginny, Luna, Harry, Neuville et Ron.

Résumé:
Pour protéger les quatres amis que sont Hermione, Ginny, Luna, Ron, Neuville & Harry, le professeur Dumbledor les envoyes tous quatres dans le passé. Mais ce passé n'est pas en Angleterre. Il les envoyent en companie du professeur de Métamorphose au Far-Ouest où Ginny se fait surnommé Calamiti Jane et où Hermione rencontre L'Etranger aussi connue sous le nom de Blondin.
Cette histoire raconte leur épopés & aventure dans le Far-Ouest.

[Les six amis se retrouve donc au temps des Westerns. Cette idée de fanfiction m'est venue après avoire regarder les westerns spagettis de Sergio Leon et mèlle donc certains des personnages de ses trois filme que son 3Pour une poigné de Dollard", "Et pour quelques dollard de Plus", suivie du très connue "Le Bon, la Brute & le Truant".]

_________________________________________

Sommaires :


Chapitre 1 : Calamity Jane.

Chapitre 2 : L’ étranger.
Chapitre 3: Ginny prend du service, et l’Histoire de Severus Rogue.
Chapitre 4 : Il était une fois un demi millions de Dollars
Chapitre 5 : le facteur sonne toujours deux fois.
Chapitre 6 : C’est une très jolie somme 500 000 $ ... Il faut les gagner !!!
Chapitre 7 : La boîte à musique volée.
Chapitre 8 : C’est la fête !
Chapitre 9 : « Ils la firent danser aux noces de sa belle fille dans des chaussures en fer chauffées au rouges, puis la sorcière s’enfuit et mourut dans la neige au milieu de la forêt. » Blanche Neige, les frères Grimm.
Chapitre 10 : Voldemort au Far West…
Chapitre 11 : la rivière sans retour.
Chapitre 12 : Les nuages sur Waïlerie.
Chapitre 13 : les tueries brillent sous les étoiles d’une étrange lumière
Chapitre 14 : la mort de Calamity.
Chapitre 15 : Deux pistolets.
Chapitre 16 : Vide Jaune, vide Blanc et vide Noir.
Chapitre 17 : Retour chez Angel Eyes.
Chapitre 18 :La forêt de l’Argne.
Chapitre 19 : Shakespeare ou Rimbault ? Poudlard ou le Far West ?
Chapitre 20 :Le Poudlard-Express.
Chapitre 21 : Santa Anna
Chapitre 22 : Retrouvailles avec Malfoy.
Chapitre 23 : Les Indiens…
Chapitre 24 : la rédemption de Malefoy.
Chapitre 25 : Magie et Légendes Indienne.
Chapitre 26 : Rêves …
Chapitre 27 : Ruptures …
Chapitre 28 : Décortications de poésie.
Chapitre 29 : Encore des dollars.
Chapitre 30 : Noël à l’ordre du phénix.
Chapitre 31 : l’attaque de Poudlard
Chapitre 32 : Le choix d’Hermione.
Chapitre 33 : Autant en emporte les dollars.
Chapitre 34 : L’envol de Ron.
Chapitre 35 : Atlanta.
Chapitre 36 : L’attentat.
Chapitre 37 : Le trésor au complet.
Chapitre 38 : La fin est proche
Chapitre 39 : La ville de l’enfer, l’enfer de la fin.
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Liliane Hook
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MessageSujet: Re: Goute de sans sur dollard brûlant.   Goute de sans sur dollard brûlant. Icon_minitimeVen 11 Avr - 3:01

Chapitre 1 : Calamity Jane.


One silver dollar
Bright silver Dollar.
Changing hands
Changing lives
Changing mind
Changing men …
Changing hands , Changing Hands

Ginny releva la tête. Son corps transpirant était maculé de la poussière rouge des pleines désertiques. Malgré la lumière du soleil, elle distinguait Nowhere City. la ville était traversée par un filin argenté qui brillait au le soleil. Ginny remonta les manches de ce qui avait autrefois été une chemise blanche, et qui n'était plus désormais qu'un morceau de tissus informe, trempé de sueur et écarlate à cause du sable. Elle but une petite gorgée d'eau, tandis que la chanson de Marilyn Monroe résonnait dans sa tête comme un vautour peut être de mauvaise augure. La jeune fille était totalement seule, et très pressée d'arriver enfin à Nowhere City. Son cheval luisait lui aussi, et elle fit couler les dernières gouttes d'eau qu'il lui restait sur ses lèvres. Puis elle se remit en route. Des fourrés rachitiques bordaient la route mais de l' autre coté de la ville, il y avait beaucoup plus de végétation grâce à la rivière, et même des champs cultivés. Les rues de la ville étaient vides. Ginny descendit de sa monture devant le saloon qui semblait tout droit sortit d'un western italien, elle poussa les portes battantes.
L'intérieur de la pièce, sombre et crade, empestait la transpiration ; les mouches tournoyaient au plafond et l'odeur portaient des relents de sueur et d'alcool. Une vingtaine d'hommes étaient installés là, léthargique ; les restes du repas froid encore sur les tables. Leurs peaux transpiraient elles aussi, et leurs petits yeux malsains et brillants regardaient Ginny avec un intérêt non dissimulé.
La jeune fille s’ approcha du comptoir et demanda a boire.

_J’ ai pas d’ eau, répondit le barman. Pour les dames je n’ ai que de la citronnelle.
_Je ne suis pas une Lady, répliqua Ginny, et je ne veux pas du produit pour chiottes. J’ ai de quoi payer. Je veux du whisky.
_D’ accord mademoiselle, répondit le Barman.
_Et arrêtez de m’ appeler Mademoiselle. Je m’ appelle Jane.
Le barman hocha la tête, et servit un petit verre de tord-boyaux que Ginny vida cul sec. Un homme s’ approcha de Ginny et la serra à la taille.
_En quoi tu t’ es déguisée ma jolie ?
Ginny ne supportait pas l’ odeur de l’ alcool flottant autour des lèvres de l’ Américain suant qui se collait à elle. Elle dégaina le pistolet pendu a sa taille et enfonça la crosse de son arme dans les … parties … de l’ homme.
_Je ne suis pas déguisé, et toi tu pourras aller chanter à l’ église avec les castras.
Des rires gras fusèrent, mais Ginny sut immédiatement qu’ elle avait commis une bourde car peu de gens savaient sans doute ce qu’ était un castra. Elle aurait peut-être du le traiter d’ eunuque ?
_Une chambre s’il vous plait, ajouta-t-elle à l’ intention du Barman.
_Contes pas t’ en tirer comme ça, marmonna l’ homme à la virilité offensée. On se retrouvera.
_Au plaisir, répondit Ginny, qui suivit le barman jusqu’à sa chambre où elle prit un bain dans une eau gelée, ce qui lui procura une excellente sensation de bien être. Puis elle mit une chemise propre, un jeans et se mit en devoir de nettoyer ses bottes en songeant à l’ incroyable entrevue de la matinée qui l’ avait conduite à se retrouver enfermée pour dieu sait combien de temps dans se monde crasseux et pourri de l’ouest américain. Pourquoi son frère devait toujours parler au mauvais moment ?Et dire que Dumbledore s’ était donner tant de mal pour les protéger. Il avait fait tellement de manipulations !!! Il avait réussi a concocter une potion pour les expédier dans une époque et un lieu totalement différent de Poudlard, celui qu’ils voudraient. Mais sitôt la potion bue, dès que l’ un d’ entre eux dirait une époque, il n’ avaient plus qu’ une heure pour se préparer à partir. Mais après qu’ils aie trinqué, et avant que Dumbledore explique le fonctionnement de la potion et ne se mette à leur conseiller une époque et un lieu sans problème, Ron avait parlé, enthousiaste, de l’ ouest américain de l’ époque des westerns. Alors Dumbledore, résigné, avait préparé le personnage de chacun de ceux qui partiraient : les six élèves qui avaient défiés les mangemorts et dont Voldemort avait plus ou moins mis « la tête à prix » et le professeur McGonagall, chargée de veiller sur eux. Mais ils ne pouvaient pas rester ensemble, c’ était trop voyant. Alors Ginny était devenue Jane, une cow-boy, la seule du groupe du reste, et cela lui convenait parfaitement. Ron était Edwards Fortescue, bourgeois et étudiant en médecine, et Harry, qui s’ était choisi le pseudonyme de Sirius Black, était son meilleur ami et son fidèle serviteur. Luna Lovegood avait conservé son prénom mais son nom de famille était désormais Mortimer, la cousine de Neville Ferrars, et avait pour chaperon Lady Holmwood, le professeur McGonagall. Hermione était devenue une serveuse dans le saloon/bar/hôtel/restaurant où était descendu Ginny. La jeune sorcière avait aussi gardé le prénom d’ Hermione, mais elle se présentait sous le diminutif inventé par Grawp, « Hermy ». Dumbledore avait aussi dû légèrement changer leur apparence physique : Le professeur McGonagall avait été vieillie, et son habituel chignon était devenu une longue tresse non moins stricte. Luna avait été également recoiffée de façon assez stricte mais assez compliqué et qui ne ressemblait plus du tout à ses cheveux jamais coiffés. Dumbledore avait fonci ses cheveux et le blond était passé de pâle et sans éclats à soutenu au reflets roux et dorés. Il avait aussi « redessinés » le contour de ses yeux et enlevé la mine rêveuse de la jeune fille. Il avait apparemment fait du bon travail puisque Ron regardait Luna très différemment. Neville avait aussi été victime de nombreux changements : il avait brusquement minci, son visage s’ était émacié, et ses dents chevauchée étaient devenue parfaites. Ses cheveux, à l’ inverse de ceux de Luna, avait été éclaircis et le brun clair lui allait d’ ailleurs plutôt bien. Harry n’ avait pas été changeable car son corps résistait inconsciemment à toutes transformation. La seule modification avait été les lunettes qui avait été transformées en lentilles. Ron n’ avait pas non plus été transformé physiquement, mais ses manières étaient devenues plus sûre grâce à la magie de Dumbledore, et il ne s’ exprimait plus que de façon très soutenue. Lorsqu’il s’ était cogné dans le bureau, au lieu de s’ écrier « Merde ! » comme il voulait le faire , il dit : « Par tous les saints ! veuillez excusez ma mal habilitée et ce qui est purement accidentel », provoquant des éclats de rire dans le bureau. Puis Ginny avait été soumise a un sortilège contraire, grâce auquel les insultes lui venaient rapidement à la bouche, son estomac était devenu magique au point de ne pas être enivré par l’ alcool et ses poumons ne craignaient plus la fumée, autrement dit, elle pouvait boire et fumer ce qu’ elle voulait. Hermione n’ avait guère été modifiée; le seul changement s’ était opéré dans sa chevelure dont les anglaises ressemblaient enfin plus a des boucles qu’ à un fouillis inextricable. La jeune fille était ravie de sa nouvelle coupe et ne cessait de passer la main dans ses cheveux noirs.
Un tambourinement dans la porte interrompit le cour des pensées de Ginny.

_Entrez.
Cinq hommes à la mine patibulaire entrèrent. Le meneur avait des cheveux noirs et gris, la peau tannée par le soleil, mais ses yeux bleus pâles se démarquaient du reste du visage de façon surprenante.
_Tu sais te servir d’ un pistolet autrement qu’en faisant de mes hommes des eunuques avec la crosse ?
_Le monde se divise en deux parties, répliqua Ginny. Ceux qui savent tirer, et ceux qui ne savent pas. Moi je sais.
_A condition que ce soit de près ? demanda l’ Homme.
_A n’ importe quelle distance, répliqua Ginny.
_On peut voir ?
Ginny se leva et s’ approcha de la fenêtre, pour voir ce qu’ elle pourrait prendre comme cible dans la rue. Par un autre don du directeur, ils étaient tous capables de tuer une mouche à 100 mètres. [n.d.l.r. : Bon d’ accord, je suis du sud, mais j’ exagère à peine !]

_Tire sur le chapeau du mec qui traverse la rue, ordonna le chef qui était venu à coté d’elle. Ginny arma, visa et tira trois fois. Chaque balla passa dans le trou fait par la première. Le chapeau s’ envola. Son propriétaire se retourna, armes à la main. Puis lorsqu’il vit l’homme se dressant à coté de Ginny, il récupéra son chapeau et s’ enfuit. La jeune fille se retourna et contempla dubitativement son compagnon. Qu’ avait-il de si particulier ? Rien, décida-t-elle au bout d’ un moment. Excepté une lueur de démence dans le regard.
_On peut t’ engager à 20 dollars de la journée, nourrie et logée, ça t’intéresse ?
_Plutôt, oui !
_Bien. Je suis Angel eyes. Voici Juan, Manuel, Manolito et Juanito. Ginny hocha la tête.
_Je m’ appelle Jane.
_Pourquoi as-tu castré ce pauvre Ignaço ?
_Parce qu’il a été grossier, et j’ ai beau être garçon manqué, je suis une fille, fière de l’ être et je ne supporte pas le genre d’ attitude qu’il a eu avec moi.
_Tu es une fille ou une calamité ?
_Les deux parfois, répliqua Ginny.
_Tu seras donc Calamity Jane, décréta Angel eyes. Ginny se rendit alors compte qu’ il venait de créer la femme cow-boy la plus célèbre de l’ Ouest, et qu’ en fait, c’ était … Elle !
Il sortit sans autre formes de procès. Ginny s’ affala sur son lit et ferma les yeux. Elle ne put rester ainsi, les bras en croix, allongée sur le dos, que quelques minutes car d’ autres coups retentirent à la porte.

_Et m**** ! dès qu’un cocu s’en va un autre arrive ! grogna-t-elle. Entrez !!!
_Bonjour mademoiselle, dit une voix qu’ elle connaissait très bien, avez vous besoin de quelque chose ?
Elle se retourna et répondit d’ une voix forte.
_Oui, je voudrais une bouteille de scotch s’ il vous plaît. Hermione articulait silencieusement « les autres viennent d’ arriver en diligence, ils sont en bas » et elle ajouta normalement :
_Je vous emmène cela tout de suite.
_Merci, mais je préfère descendre.
_Comme vous voulez, mademoiselle.
_Et arrêtez de m’ appeler mademoiselle, ça me tape sur les nerfs.
_Si vous voulez, mademoiselle. Ginny dut retenir une crise de fou rire, et ce fut donc avec un air étrangement constipé qu’ elle arriva au rez de chaussée.
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Liliane Hook
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Chapitre 2 : L’ étranger.

Francisco jouait dans la rue avec ses camarades. Il était un peu plus de six heures du soir. Beaucoup d’ étrangers étaient arrivés au patelin aujourd’hui. La fille, a peine plus âgée que lui, qu’ avait engagé Angel eyes, le pire des truands cupides et morbides dont il aie jamais entendu parler, était la première. Puis il y avait eu le dénommé Tuco, un type à la gâchette facile et sûre, qui recherchait une moitié de cigare, et Francisco n’ avait pas entendu la suite. Puis la diligence, inhabituellement pleine, était arrivé avec le bourgeois Edwards Fortescue, qui n’ arrêtait pas de parler avec une mine réjouie, et son serviteur du même âge, Sirius Black. Tout deux avaient maximum un an de plus que Calamity Jane. Puis Luna Mortimer, son cousin, Neville Ferrars et Lady Holmwood, le chaperon de Miss Mortimer. Ah oui ! Il y avait aussi Hermy, arrivée deux jours plutôt et engagée comme serveuse au saloon. Francisco avait décidé de se faire de l’ argent avec tous ces étrangers, aussi lorsqu’un homme mal rasé, très grand, avec un chapeau à large bord, un poncho marron foncé et des cheveux dorés arriva en faisant marcher son cheval d’ un pas tranquille, il quitta ses amis en train de jouer aux billes et attrapa la monture par la bride.
_Bonjour monsieur, je m’ appelle Francisco. Je vais mener votre cheval à l’ écurie de cet hôtel, dit-il en montrant le saloon du doigt.
_Et pourquoi celui là et pas un autre ? demanda L’ Etranger. Il parlait en desserrant à peine les dents et avait la une voix lente et doucement dangereuse.
_Parce que celui-là me paie pour que j’ aille jouer ailleurs, et il y a la patronne.
_Elle est mariée ?
_Oui, mais il est cocu.
_Si tu veux te faire de l’ argent dis-moi, as-tu vu beaucoup d’ étranger ici ces derniers temps ? Il lança une pièce à Francisco, ravi que les affaires marchent déjà.
_Oui, il y a Angel eyes qui s’ est installé ici il y a un peu plus d’ une semaine.
_Ensuite ? Francisco ne répondit pas et se contenta de faire sauter sa piécette et de la rattraper au vol. L’ Etranger lui en envoya une autre.
_Il y a Calamity Jane. Une fille qui tire vachement bien, elle a fait un seul trou avec trois balles dans le chapeau de mon oncle.
_Rien d’ autre ?
_Si. Francisco attrapa une troisième pièce. La nouvelle serveuse. Et il y en a d’ autre. L’ Etranger perdit soudain patience, et attrapant Francisco le souleva de terre. Par le col.
_Maintenant je ne joue plus le gosse. Je ne te parle pas de femmes. Qui d’ autre ?
Francisco se hâta de dissimuler les trois pièces.
_Un bourge, Edwards Fortescue, son serviteur, Sirius Black, et un bandit, Tuco. L’ Etranger lâcha Francisco avec un sourire.
_Alors ce bon vieux Tuco est ici … marmonna-t-il. La moitié de cigare qu’il avait fichée dans la bouche bougea et passa de droit à gauche dans un rapide et habituel mouvement de dents et de langue. Il descendit du cheval et attache sa bride devant le saloon.
Le barman n’ était plus seul, sa femme était également là. Elle avait de belles formes, mais son gros visage cupide avait des yeux trop coquins et calculateurs. Elle sourit de toutes ses dents à l’ Etranger mal rasé.
_Je veux votre meilleur chambre, celle avec balcon au-dessus de l’ enseigne.
_Mais, monsieur, cette chambre est déjà occupée !!!
_Faites voir votre registre. La patronne tourna le livre vers lui. Il prit une plume à coté et raya les noms
« Edwards Fortescue et Sirius Black. »
_C’ est réglé maintenant. Dit-il. Il releva le devant du poncho et le jeta en arrière sur son épaule, découvrant une chemise bleu pâle, un gilet en peau de mouton retourné, et un jeans à la ceinture du quel brillaient deux pistolets. Le patron qui avait fait un mouvement vers le fusil accroché derrière lui eu un pauvre sourire.
_Je monte libérer la chambre, dit l’ Etranger. Dans les escaliers, il croisa une jeune fille rousse, vêtue « à la garçonne » qui devait être Calamity.

Hermione arriva dans le saloon juste à temps pour voir Harry et Ron, livides, descendre l’ escalier à toute vitesse.
_Que se passe-t-il ? s’ inquiéta-t-elle.
_Nous avons étés vilement chassés de nos appartement par un cow-boy qui se croit tout permis à cause de ses pistolets.
_En l’ occurrence, je pense que les pistolets sont une bonne raison de se croire tout permis, répliqua Harry, encore étonné de la façon dont ils avaient été expulsés.
_Mr Fortescue ? appela l’ Etranger dans les escaliers. Il jeta à Ron un pantalon de dessous.
_Celui-ci est trop petit pour moi.
Ginny éclata d’ un rire joyeux, mais Hermione et Harry durent faire un violent effort pour se contrôler. L’ Etranger, sans un regard pour ce qui se passait, remonta les marches.
_Nous allons vous trouver une autre chambre, promit le patron, en regardant sa femme d’un air accusateur car elle n’ avait pas quitté L’ Etranger des yeux, et semblait rêveuse. Et qu’ est-ce que tu lui trouve toi ?
_Je ne sais pas, il est attirant, marmonna la maîtresse des lieux. Ginny approuva en souriant, ainsi qu’ Hermione.
_Si mon frère était ici, claironna Ginny, il s’ appelle Ronald celui-là, je pourrais enfin lui montrer le sens de virilité. Hermione se précipita dans la cuisine pour calmer son fou rire, et les oreilles de Ron devinrent écarlates.
_Ah, vraiment ? Votre frère doit être un abruti alors.
_Non, pas à ce point là, répondit Ginny qui descendait un verre de whisky, mais il a oublié comment faire pour draguer.
_Je suis embêté, intervint le patron, je n’ ai plus de chambre libre.
_Mettez les dans ma chambre, répondit Ginny. Comme le bonhomme avait un haut-le-corps, elle ajouta :
_J’ ai été engagée dans la bande d’ Angel eyes, je dois les rejoindre se soir.
_Vous êtes trop aimable, dit Ron.
_C’ est moi qui suis heureuse de vous rendre service, répondit Ginny. Je vais vous montrer le chemin et rassembler mes affaires.

_Ginny, tu pourrais te tenir ! explosa Ron dans sa nouvelle chambre.
_Moi je me suis beaucoup amusée, répondit Ginny.
_Je vois ça oui ! Me ridiculiser ainsi !
_Ce n’ est pas moi qui est commencé, c’est L‘Etranger. Et je te rappelles que nous ne sommes pas censés être frère et sœur !
_Ouais, j’ avais oublié. T’as de la chance !
Ginny embrassa son frère sur la joue avec malignité.
_Et Harry ? protesta Ron.
_Oh si tu veux, répondit Ginny, qui posa ses lèvres sur la joue de Harry. Celui-ci sentit son estomac se contracter, et le contact des lèvres fraîches de Ginny lui procura une sensation de plaisir et de bonheur qu’il n’ aurait pas pensé pouvoir éprouver. Il fut si surpris qu’il tourna légèrement le tête pour voir le visage de la jeune fille et le baiser de Ginny finit sur les coins des lèvres de Harry.
_Tu as embrassé Ginny ? s’énerva Ron.
_Non, j’ ai tourné la tête, répliqua Harry avec mauvaise foi.
_Je t’ interdis d’embrasser Ginny, tu entends ?
_Oui je t’ entends mais je ne l’ ai pas embrassée !
_Si !
_Ce n’ est pas ma faute si elle me trouve irrésistible !
_Je vous laisse, dit Ginny en sortant. Elle rejoignit Hermione occupée à servir deux bières derrière le comptoir.
_Pffffff ! souffla-t-elle.
_Qu’est-ce qui t’arrive ? demanda Hermione. En se détournant des deux cow-boys qu’ elle venait de servir.
_J’ ai embrassé Har…ius.
_Qui ? demanda Hermione, qui n’ était pas sûre d’ avoir compris.
_Sirius Black.
_Il est mignon, tu as bon goût, répondit Hermione avec un clin d’œil. Fortescue n’a rien dit ?
_Il a piqué une crise d’ hystérie alors je les ai laissés.
_Comment ça c’ est passé ?
_Je leur ai fait la bise pour partir et Sirius a tourné la tête au dernier moment.
_Je ne l’en aurait jamais cru capable, intervint un des habitués du saloon à coté d’ elles. Il m’ a l’air d’un coincé !
Ginny se raidit quelque peu car le garçon lui avait déjà sauvé la vie.
_Il paraît qu’il est très courageux, dit-elle.
_On dirait pas, vu sa tête ! ricana un autre.
_Il a de très beaux yeux, répliqua Hermione.
_Ouais, ch’ ais pas, éluda l’ américain suant. Je regarde les yeux des femmes, pas des hommes. Il éclata d’un rire gras, imité par son compagnon. Hermione leva les yeux au ciel et Ginny vida un verre d’ alcool.
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