Prénom en HJ : Cassy
Age en HJ : 20 ans
Comment trouvez vous le design ? tres beau
Comment avez-vous connu le forum ? hum j'ai reçu un mail ^^ avant j'était sur P001
Les trois codes du réglement ? |~Validés~|
Nom de votre personnage : Larvalo
Prénom de votre personnage :Cassey
Age de votre personnage : 15 ans
Son année :5 éme
Caractère [10 lignes] : Le passé n’a fait qu’accroître les sentiments hostiles de Cassey. De la méfiance, de l’orgueil.. Son enfance ne fut guerre des plus agréables, laissant plusieurs traces fatales sur le cœur défaillant de la jeune fille. Autrefois, Cassey était une fille douce et attentionnée, sensible. Mais le temps ne fit que changer, et il fallu s’adapter. Autrefois aussi, pleurait une petite fille, seule dans sa chambre, abandonnée par le monde. Mais le destin l’enveloppa de ses bras sombres, elle changea, grandit, laissant place à une jeune fille à la fois sensible, mais hautaine. Il arrive encore maintenant qu’elle se laisse submerger par ses propres sentiments, mélangeant ainsi la colère et la tristesse, jusqu'à arriver à la conclusion que la vie ne vaut pas toujours la peine d’être vécue. Et pourtant c’est une chose essentielle, mais il semblerait que certaines personnes ne sachent le définir. Pourquoi la haine est-elle si cruelle ? Aucunes définitions ne sauraient vous le dire. Pleurnicharde, trouillarde ? Non, ces conclusions ne sont pas exactes. Cassey est solitaire, aussi bien envers ses proches, qu’envers les inconnus, mais n’est pas pour autant timide. La contrarier serait une mauvaise chose, les remarques blessantes pourraient à tout moment sortir de la bouche de la jeune fille, oubliant l’effet que ça faisait d’être ainsi traitée. Il suffit de bien l’écouter, et l’on distingue souvent dans sa voix un passage de colère, mais aussi de frêle. En effet, ayant autant était abandonnée dans sa plus tendre enfance, Cassey sort souvent des critiques, des insultes, ou des faux jugements, comme pour pouvoir se venger d’une chose invisible. Invisible, mais pourtant existante. D’une nature très hautaine, et préoccupée, elle se laisse pourtant de temps en temps emportée par un vent de gentillesse, qui, ma foi, ne dure que très peu. La faiblesse maintenant a presque complètement disparue chez Cassey, étrange, mais compréhensible. Oublions le passé, revenons maintenant, au présent. La jeune fille est particulièrement d’un tempérament rêveur, très étrange pour une telle fille. Oubliez aussi l’idée de la déplaire, c’est une mauvaise chose, compris ?
Pourquoi tant de défauts et non de simples qualités vous dites ? Ho mais c’est simple mon cher, les qualités n’envahissent pas la jeune sorcière. Peut-être est-elle, rusée et maligne ? Maligne, très certainement. Elle trouve toujours des excuses banales à fournir en cas de situations extrêmes. Rusée tel un chat en pleine nuit escaladant pattes à pattes les toits ? Euhh disons peut-être pas tant, parce que là, j’avoue qu’il faut certainement être une experte. Cassey ne se laisse néanmoins pas marcher sur les pieds, et même si elle reste désormais insensible aux remarques des autres, elle trouve toujours de quoi répondre, que ça soit très « cassant » ou blessant. Pourquoi reste-t-elle insensible comme cela ? Tout simplement car le passé ne fit que l’endurcie pour tout les pas qu’elle put franchir plus jeune.
Physique [8 lignes] : Cassey est jolie, c’est indéniable. Vous pourrez toujours lui trouver d’éternels défauts de caractère, mais quand à son physique, il est tout simplement parfait…ou presque, n’allons pas chipoter. Lorsqu’elle était âgée de deux ans, toutes les mamies du village se tenaient déjà devant elle, comme émerveillées par ce qu’elles voyaient. Maintenant ce ne sont plus des mamies mais des garçons. C’est d’ailleurs plus au goût de la jeune fille. Déjà toute petite ses longs cheveux attiraient tous les regards, et en grandissant, si ses cheveux se sont obscurcis, les regards eux, n’ont pas changés. Ils sont toujours aussi admiratifs envers la jeune fille. Cassey a toujours été très grande pour son âge et dépassait d’une tête tous ses camarades jusqu’à l’âge de 11 ans. Heureusement pour elle, elle a enfin arrêté de grandir, et reste dans des tailles acceptables. Elle n’a jamais vraiment aimé être grande, l’impression de supériorité, de regarder les autres de haut, n’était pas très plaisante pour elle. Néanmoins elle possédait un tel charisme, que quiconque, petit, gros, grand, maigre, se trouvait attirer par elle. Elle dégageait quelque chose, une certaine sérénité, que l’on ne pouvait retrouver chez personne d’autre. Ses longs cheveux étaient coupés en dégradé. Elle ne coupait pas souvent les pointes et depuis toute petite ils étaient long, très longs. Parfois, lorsqu’elle en avait le courage elle se faisait de toutes petites tresses, très fines, en utilisant le moindre de ses cheveux, lorsqu’elle avait fini, sa chevelure n’était plus qu’un tourbillon de gaité endiablée qui voletait autour de son visage. Ses yeux étaient sûrement ce qui attirait le plus le regard chez la jeune fille. Il brillait tellement d’aisance, de bienveillance que l’on avait envie de se plonger dedans pour ne plus jamais en ressortir. Elle dégageait une telle chaleur, une inconditionnelle sincérité, que lorsqu’elle parlait, on avait l’impression de voir des étoiles briller à l’intérieur. Ce n’est pas parce qu’elle semble aussi gentille qu’elle n’impose pas e respect au premier regard. C’est même tout le contraire, lorsqu’on la voit, on a toujours envie de la contenter quoiqu’elle demande. Le style de la jeune fille, lui a toujours attiré les faveurs de tout le monde . Ses doigts fins et agiles, sont toujours en activité, c’est l’un des seuls tics qu’elle possède. Doux au toucher et joyeux de part leur rapidité ses doigt ont toujours été les chouchous de la jeune fille. Elle a toujours préférer les parties en elle que l’on voyait le moins à celles que tout le monde pouvait voir. Son teint de pêche l’indifférait, ses dents blanches et bien alignées l’ennuyait et que tout le monde la complimente sur sa beauté l’impatientait. Une telle adoration des personnes qu’elle rencontrait aurait pu faire d’elle une créature simplette et hautaine, mais non, elle avait toujours su se montrer intouchable face aux compliments qu’on lui adressait. Comme toute petite fille, elle rêvait de trouver le prince charmant, mais plutôt qu’il ne se montre qu’à cause de ce à quoi elle ressemblait elle avait toujours voulu qu’on l’aime pour ce qu’elle était. Plusieurs fois, elle y avait cru, plusieurs fois elle s’était trompée. Cassey marchait toujours la tête droite, et la silhouette élancée, non pas par fierté, mais pour éviter de se faire marcher sur les pieds. Son visage fin et charmeur, mettait dans sa poche n’importe qui, mais elle n’en n’usait pour ainsi dire jamais. Elle ne se maquillait peu, préférant le naturel et la simplicité aux filles « pots de peintures » qu’elle avait parfois croisés sur son chemin. De même pour ses vêtements, elle ne s’autorisait aucuns artifices, et ses tenues étaient toujours sobres et élégantes, le plus souvent même des tenues décontractées voire vieillottes pour certains, qui lui permettait de bouger comme elle le voulait
Histoire [16 lignes] :Le 03 janvier , en pleine banlieue de Londres, naquit Deux petite fille, aux doux yeux amandes, sous les yeux émerveillés de ses paternels. C’était un jour froid, une épaisse couche neigeuse recouvrait les toitures de la ville, laissant apparaître un paysage hivernal. Quelques flocons continuels tombaient encore, le vent soufflait fort à l’extérieur. Ces deux petites filles grandirent dans la joie, la bonne humeur, jusqu’à ce qu’il y ait cet accident. Agée d’à peine 8 ans, une dispute interminable, suivit de « comment as-tu pu faire ça ? » de « Si tu m’avais suivit ça aurait mieux marché » et de « Tu aurais pu nous tuer tous ». Mais d’un seul coup, les insultes s’estompèrent, la porte de la maison vola en éclat, Cassia entraîna Cassey dans le placard, comme pour pouvoir la protéger de quelque chose. Un cri aigu résonna dans toute l’habitation, laissant place à des ricanements. Cassia ouvrit brusquement la porte, descendit les escaliers, et s’arrêta net, tel un piquet. Le corps de Julia, la mère de la famille, demeurait inerte près de la cheminée,…
Les fillettes furent placées dans un Orphelinat, la police moldue enquêtait sur la mort soudaine de Julia Somber, à la recherche d’indices invisibles sur le corps de la jeune femme. Situation peu ordinaire chez les moldus, ils estiment toujours qu’il y a une justification à la mort de tout aître humain, tel qu’elle soit cependant le pére des deux jeune fille avait soudainement disparut nul ne sais oui il était passé. Cassey fut séparée de Cassia par une famille d’adoption, c’était un nouveau départ pour elle, mais qu’allait devenir sa sœur ? Nul ne le pouvait le deviner. La jeune fille s’aperçut bien assez tôt qu’elle n’allait pas être seule, deux jumelles attendaient leurs parents sur le seuil de la porte, la mine complètement dérangée. L’une claquait du pied, l’autre observait, un sourcil haussé, un gamin faisant de la bicyclette. Cassey émit un gémissement en sortant de la voiture, sentant dans son dos les regards sombres de ses futures demi-sœurs. On peut dire que sa vie bascula à ce moment là. Leurs parents adoptifs n’étant en majeure partie qu’au boulot, les filles devaient s’occuper des corvées, attendez une minute... Les filles ?
Ho ho non ! Certainement pas. Ses parents adoptifs étaient parties faire une ballade, c’est vrai qu’il faisait très bon ce jour là. Cassey était restée plus de vingt minutes à l’extérieure, ses valises traînant derrière elle. Elle ne retrait pas, mais lorsqu’elle se décida enfin à avancer, les jumelles lui claquèrent la porte au nez, laissant une gamine de 10 ans, grosse baguages sous les bras, attendre qu’on lui ouvre la porte. 1990, ce fut sans aucuns doutes l’année la plus humiliante qu’elle n’ait jamais connue. Allie et Elie, c’était le nom de ces deux pestes de demi-sœur, et c’est dans cette même année, avec ces deux filles, que Cassey changea complètement de personnalité.
Elle était considérée comme le vilain petit canard de la famille, passait son temps à jour cendrillon en nettoyant toute la maison jour après jour, mais n’en recevait qu’en rien de récompenses. Mais dans cette histoire, Cendrillon reste pure, elle-même, et rencontre plus tard le prince charment. Sauf qu’ici, Tara commença à se faire mal voir de ses parents adoptifs, se manifestant de faire toujours tout tout tout. Elle perdit vite confiance en elle, abandonnant tout espoir, et devint une jeune fille sombre, comme si après-en, les insultes ne faisaient que rebondirent sur elle, sans qu’elle n’éprouve aucuns sentiments.