Lilliane marcher de couloir en couloir, lui senblant si famillier mais cette année ils semblait à la jeune fille que ses mures de pierres se soient ternis pendant l'été. Comme chaque année elle avait biensûr était contante de retrouvé sa chère école. Mais là encore les parfum, et les sensations de goûts n'étaient pas les mêmes.
Elle s'était coucher tôt la veille mais n'avait pas put trouver le repos. Se retournant sens arret pour essayer de trouver une meilleur position, un meilleur conford pour dormir, mais rien ni fit. Tous le long le cette nuits mouvemmenté elle ne put s'empécher de pensé à certaines personnes qui avaient remplis sa vie à la manière de l'eau dans un verre transparant.
Quand enfin la lune, en quartier, c'était montrée dans l'embrasure de la fenêtre ouverte, la jeune fille fut bizarement récomforté et son coeur froid jusqu'alors se réchauffa peu à peu. La gaité emplis son esprit. Les étoiles veillèrent sur elle, et seconde après secondes, minutes après minutes, la jeune fille s'assoupit. Son soufle s'apaisa et trouva en rythme normale pour quelqu'un qui dort, cepandent les yeux de la jeune adolescente restait toujours éveillé, grand ouvert, mais fixant les rideau au couleur jaune pâle.
Le lendemain matin Lilliane s'éveilla alors que l'aube avait prèsque fini son dûr tragé, cacher dernière quelques nuages la jeune élève devina où le soleil s'était réfugier. Elle se glissa hors du lit et enfila ses sous-vêtements, sa jupe noire ainsi que sa chemise, elle atrapa au vol ses chaussures et sa veste noir puis descendit du dortoire des sixièmes année des filles de Poufsouffle. Lorsqu'elle atteint la salle commune, mademoiselle Hook enfila ses balerines et se dirigea vers la cheminer dans laquelle aucun feu ne dansait. Elle s'abaissa et prit sa sacoche. Etant plutôt grande elle pouvait contenir ses affaires dont elle se servirait pendant la journée. Elle en sorti un livre et commencer à le lire. Il faisait parti d'une trilogie ayant comme nom Le livre des étoiles. L'heure passa. Sens s'en soussier la sorcière continua de lire dans le calme que couppait par instant des bruits de pas des les escaliers.
Lors qu'elle eut finit son livre la jeune fille regarda sa montre. L'élève rangea son livre dans son sac et prit le temps de boutonner sa veste, puis parti en courant dans les couloirs déserts.
Lorsqu'elle arriva au abords de la grande salle l'adolescente fit demis tours. Il n'y avait perssonne avec qui parlait. Ceux qui avait cours étaient en cours et les autres étaient rester certainement dans leurs salles communes où dans leur dortoire.
Elle partie donc flaner dans les couloirs de l'école arborant son plus grand sourire, lorsque, au bous d'une heure de marche dans le Château, se trouvant alors au Septième étage elle vit une personne de l'autre côté du couloir. Liliane ne voyait pas bien de qui il s'afissait. Aussi elle continua de marcher dans sa direction avant de se rendre compte qu'il s'agissait d'une fille de Serpantard, certainement plus agé qu'elle.